Depuis l’éclatement
de la crise financière de 2008, les grandes banques européennes ne
cessent d’accumuler les bénéfices - 22 milliards rien que pour les trois
premières d’entre elles en 2013 - tandis que les populations se font
racketter.
Et elles ont contribué directement à l’aggravation du chômage : plus de 250 000 emplois supprimés depuis lors dans les trente premières banques d’Europe. Aujourd’hui, elles disent le « choc de la tempête financière de 2008 » absorbé.
Cela n’empêche pas ces trente grandes banques, qui savent que l’optimisme de commande ne suffit pas à garantir les profits, de continuer leur saignée dans les emplois.
Et elles ont contribué directement à l’aggravation du chômage : plus de 250 000 emplois supprimés depuis lors dans les trente premières banques d’Europe. Aujourd’hui, elles disent le « choc de la tempête financière de 2008 » absorbé.
Cela n’empêche pas ces trente grandes banques, qui savent que l’optimisme de commande ne suffit pas à garantir les profits, de continuer leur saignée dans les emplois.
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