Pour le grand patronat, fermer une usine, mettre à la porte ses
travailleurs, les condamner avec leurs familles au chômage et à la
pauvreté ce n’est pas de la violence. Mais quelques boulons lancés ou
quelques pots de fleur renversés à l’occasion d’une grève ou d’une
manifestation ouvrière, est une violence intolérable qui doit être
sanctionnée.
Il ne faut pas s’en étonner. Dans la guerre de classe que mène le grand patronat contre les travailleurs, tous les coups sont permis aux premiers qui voudraient bien que les seconds encaissent sans réagir. Le gouvernement démontre, une fois de plus, que dans cette guerre, il est totalement du côté du grand patronat, y compris avec des arguments hypocrites et abjectes qu’il puise dans le vocabulaire de la droite et de l’extrême droite.
Mais, chacun des gestes de ce genre du gouvernement, comme chacune de ses mesures anti-ouvrières convainquent un nombre croissant de travailleurs que le gouvernement, tout socialiste qu’il se prétende, n’est que l’exécuteur des basses œuvres du grand patronat et serviteur obéissant des riches.
Lorsque les travailleurs réagiront pour défendre leur dignité et leurs conditions d’existence contre les licenciements, contre la montée de la misère, ils sauront à qui s’en prendre.
Il ne faut pas s’en étonner. Dans la guerre de classe que mène le grand patronat contre les travailleurs, tous les coups sont permis aux premiers qui voudraient bien que les seconds encaissent sans réagir. Le gouvernement démontre, une fois de plus, que dans cette guerre, il est totalement du côté du grand patronat, y compris avec des arguments hypocrites et abjectes qu’il puise dans le vocabulaire de la droite et de l’extrême droite.
Mais, chacun des gestes de ce genre du gouvernement, comme chacune de ses mesures anti-ouvrières convainquent un nombre croissant de travailleurs que le gouvernement, tout socialiste qu’il se prétende, n’est que l’exécuteur des basses œuvres du grand patronat et serviteur obéissant des riches.
Lorsque les travailleurs réagiront pour défendre leur dignité et leurs conditions d’existence contre les licenciements, contre la montée de la misère, ils sauront à qui s’en prendre.
Communiqué de presse de Nathalie Arthaud
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