Les 30 milliards
d’euros accordés au patronat par le Pacte de Hollande étant chose
acquise, Gattaz, le représentant du patronat « partenaire » du Pacte,
précise ses exigences sur la façon dont cette transfusion de fonds
publics doit être gérée : maintien des allègements de cotisations sur
les bas salaires, du Crédit Impôt Compétitivité Emploi, et maintien de
la mesure de suppression du paiement des cotisations familiales par les
patrons.
Dans cette comédie d’une pseudo-négociation où le gouvernement fait semblant d’exiger du patronat des contreparties à ses cadeaux aux patrons, Gattaz ne fait pas de cinéma et exige plus. Il demande au gouvernement de geler ses projets de loi sur la pénibilité, sur l’apprentissage ou sur le recours au travail des stagiaires...
Quand un cadeau de 30 milliards ne suffit pas à calmer le stress patronal, c’est qu’il s’agit d’une maladie sans remède, qui ne disparaîtra qu’avec le patronat lui-même.
Dans cette comédie d’une pseudo-négociation où le gouvernement fait semblant d’exiger du patronat des contreparties à ses cadeaux aux patrons, Gattaz ne fait pas de cinéma et exige plus. Il demande au gouvernement de geler ses projets de loi sur la pénibilité, sur l’apprentissage ou sur le recours au travail des stagiaires...
Quand un cadeau de 30 milliards ne suffit pas à calmer le stress patronal, c’est qu’il s’agit d’une maladie sans remède, qui ne disparaîtra qu’avec le patronat lui-même.
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