Le groupe minier
français Imerys vient de lancer une OPA (offre publique d’achat) sur le
groupe américain Amcol : il est prêt à débourser 1,2 milliards d’euros
pour mettre la main sur ce champion de la bentonite, acquisition qui lui
permettrait de doubler de taille.
Quoi de plus banal qu’une OPA dans la grande jungle capitaliste… mais celle-ci intervient alors qu’Imerys est en train de fermer sa mine d’ardoise de Trélazé (Maine-et-Loire), jetant 180 travailleurs sur le carreau.
Une preuve flagrante que, pour maintenir une activité sur le site de Trélazé ou au moins assurer aux ardoisiers le maintien de leur salaire, l’argent existe bel et bien. Il faut donc le prendre là où il est.
Quoi de plus banal qu’une OPA dans la grande jungle capitaliste… mais celle-ci intervient alors qu’Imerys est en train de fermer sa mine d’ardoise de Trélazé (Maine-et-Loire), jetant 180 travailleurs sur le carreau.
Une preuve flagrante que, pour maintenir une activité sur le site de Trélazé ou au moins assurer aux ardoisiers le maintien de leur salaire, l’argent existe bel et bien. Il faut donc le prendre là où il est.
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