Pendant deux heures
sur France-Inter, Hollande a poursuivi sa campagne pour se refaire une
popularité. Il a agité deux hochets : le premier, lié à l’avenir de la
planète, un classique pour des présidents qui cherchent comment faire
diversion. Le second, c’est la taxe Tobin, une taxe sur les transactions
financières dont on a parlé depuis des années sans que rien ne se
fasse.
En ce qui concerne les travailleurs, il a brassé beaucoup d’air et prêché la patience : il faudrait juger de son bilan, c’est-à-dire du chômage, des salaires à la fin de son mandat. Les cinq millions de chômeurs et les quelques vingt millions de salariés apprécieront. Il faut souhaiter qu’ils perdront patience avant 2017.
Sur le même sujet, pour lire notre éditorial du lundi 5 janvier cliquer ICI.
En ce qui concerne les travailleurs, il a brassé beaucoup d’air et prêché la patience : il faudrait juger de son bilan, c’est-à-dire du chômage, des salaires à la fin de son mandat. Les cinq millions de chômeurs et les quelques vingt millions de salariés apprécieront. Il faut souhaiter qu’ils perdront patience avant 2017.
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