Après un regroupement devant l'école, organisation du départ...
Puis remontée du boulevard vers le centre-ville, avec une belle pagaille pour les automobilistes... qui ont signé de bon cœur la pétition !
Pour terminer les manifestants se sont rendus devant la mairie, accrochant une banderole sur les grilles... et si certains criaient "la mairie avec nous" c'est devant des locaux vides et sans aucun membre de la majorité municipale...
De l'avis général, c'est sur leur propre mobilisation qu'il faut compter, et pas sur le baratin des politiciens comme Tron qui n'a en fait été capable que d'envoyer ses adjoints menacer enseignants et parents vendredi lors de l'occupation des locaux de l'école !
Demain les parents seront nombreux sur le marché et lors de la fête des associations pour informer la population et faire signer leur pétition en attendant les actions de blocage de l'école prévues lundi et mardi.
Soyons nombreux à les soutenir !
Une information d'une lectrice du blog :
RépondreSupprimerSalut Benoît,
je confirme: la mobilisation est payante. Ici, à Saintry, deux classes étaient censées fermer lors des prévisions du dernier trimestre l'an dernier. Or,les chiffres de l'IA étaient évidemment nettement inférieurs à ceux, réels, des élèves inscrits en mairie.
Les parents d'élèves très motivés se sont mobilisés d'avril à fin juin: manifs en tout genre , blocage des évals nationales de CM2 et, surtout, occupation nuit et jour (même le WE) de l'école (tentes /barbecs ... c'était extra: les petits vieux du village apportaient le café et les croissants chauds le matin.. une entraide assez incroyable et qui m'a vraiment redonné foi en la possibilité de changer les choses si on est solidaires)
La mobilisation était telle qu'on a eu qqs minutes aux JT nationaux: BFM, TF1,et France2.
Résultat: lors de la dernière entrevue à l'IA début juillet, on avait gagné; on a récupéré nos deux classes (et toutes nos classes sont,au minimum à 26 élèves, tu imagines le carnage si on avait pas eu gain de cause)
courage à vous.
bises
A bientôt,
C.
Ca nous laisse de l'espoir...
RépondreSupprimermerci
sandrine